Page:Mikhaël-Mendès - Briséïs, Dentu.djvu/59

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LEVŒOXMAMN
Mais moi, le soir d’hier, dans les ténèbres,
J’ai vu deux grands corbeaux
S’élever d’entre les tombeaux
Vers les astres funèbres.
Tandis qu’un sinistre bruit d’ailes
Palpitait dans les airs,
Ils laissaient choir sur les marbres déserts
Commeune neige en deuil de tristes asphodèles.
Unsilencependant!e<fue(les vieillardsont eu l’airde se consulter
entre eux.Un assombri~~emont
dan*) l’orchestre. et le vent s’ett
!fv~,faisant,au fond,tronhtcret ~’entterles voilea. Le vieillard
continuedeparler
Et. tenez! dans l’air obscurci
Court un vent froid.
Le ventredouble,éteignantlestorche*.
.souftiant les torches au pMMge’
Le vieuxmarin,dansle noird’unebaie,lèvele braiau ciei
Et les deux grands corbeaux planent
Lesvieujtremontentverslui,pendantquelesjeunesgensetTraye*
se groupentplusetroitt’tnenttout leatorche*éteinte*.
TOUa,
en deschuehot<"nent*.
Sombre préMge.
BIfLAS.
qui veutles retenir.
Elle viendra! 1 Restezici 1
Vous rirez et boirez dans la maison en fête!
LE VIEUX MARIN
Ce n’est pas ton hymen que le Destin apprête!