Page:Mirecourt - Gérard de Nerval.djvu/86

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la plume élégante qui avait gardé l’anonyme à la naissance du journal.

Notre héros ne songeait pas à publier ses voyages, convaincu que tout avait été dit sur l’Orient. S’apercevant toutefois de l’intérêt que bon nombre d’amis prenaient à ses narrations, il essaya de raconter dans les colonnes de l’Artiste son Voyage en Grèce, et la Revue des Deux-Mondes voulut publier presque aussitôt le Voyage en Orient.

Il parut en 1845.

Gérard savait que le bruit de sa prétendue folie s’était accrédité.

Dans une série de nouvelles très-curieuses, dont voici les titres : le Roi de Bicêtre, les Confidences de Nicolas, Quintus Aucler, l’Abbé de Bucquoy, Cazotte et