Page:Mirecourt - Guizot.djvu/88

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que légitimiste, il eût voulu faire croire que le cabinet de rédaction de l’Assemblée nationale était un berceau, quand il n’était qu’un sépulcre.

Nous dirons avec Laurent Pichat :

Faites place ! Rentrez dans la nuit, vieilles ombres.
Tous ces gens-là sont morts, il faut les enterrer.

Cet excellent docteur Véron, dans ses Mémoires d’un Bourgeois de Paris, consacre dix ou douze pages d’une style fort lourd à une sorte de réhabilitation de M. Guizot.

Ah ! que vous êtes bien venu, docteur, à plaider une pareille cause !

Quoi ! l’auteur des Martyrs et d’Atala vous a dit que M. Guizot n’avait jamais