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Méry repassa les Alpes, après avoir consolé les derniers instants de la mère de l’Empereur, cette autre Cornélie, qui avait vu tant d’infortune succéder à tant de gloire.

Il trouva Paris en butte à une véritable avalanche de petits journaux.

Jamais époque n’avait été plus féconde en ridicules.

Le pays tout entier partait d’un immense éclat de rire aux facéties de la Caricature, du Vert-Vert, du Charivari, et surtout de cet éblouissant Figaro qui a laissé de si spirituels et de si méchants souvenirs.

On invita le maître à prendre part à cette nouvelle croisade à coups d’épingle.

Figaro savait que Méry allait lui fournir