Page:Momas - Voluptés bizarres, 1893.djvu/14

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véritablement très désirable, avec l’ampleur de ses hanches ondulantes, de ses seins ronds, durs, de ses fesses magnifiques, lourdes comme un beau marbre, de ses cuisses charnues, plus blanches que l’hermine, desquelles le poil blond du petit trou rose se hérissait agréablement…

Un moment Hélène demeura ainsi, debout, se pelotant gentiment, se disant combien heureux serait celui qui la pourrait voir ainsi !

Puis, elle s’approcha du lac, et y trempa ses petits pieds…

La sensation froide de l’eau lui fut désagréable…

Mais elle avança résolument, regardant l’eau monter le long de ses cuisses blanches, toute peureuse de sentir cette eau venir baiser son solide cul poli…

Mais elle se fatigua rapidement de cet aquatique délassement…

Elle sortit de l’eau, toute ruisselante.

Alors, elle s’aperçut qu’elle n’avait aucun