Page:Momas - Voluptés bizarres, 1893.djvu/98

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tant… Les jambes en l’air et maintenues par ses deux mains, qu’elle passa sous ses cuisses, la voluptueuse exposa sous le museau d’Azor la fente rose de son divin cul, ainsi que son joli con, encore tout rempli de foutre.

Azor lécha bien pendant quelques délicieux instants le petit trou chéri, mais bientôt il se recula, s’assit gravement, et, la langue hors de la gueule, soufflant puissamment, il se livra à une petite comédie, qui, pour être mimée, n’en était pas moins fort expressive, car elle obtint chez les deux femmes, un succès de fou rire…

— Regarde donc, faisait Suzanne… Ton cul qui fait bander Azor… Gros cochon ! je parie qu’il veut jouir, lui aussi !…

— Allons, Mr, Azor, dit Hélène, si vous vouliez reprendre votre travail, et ne plus le quitter qu’après son achèvement complet…

Le chien, comme s’il eut compris le sens de cette invitation, se traîna jusqu’à la jeune femme, et, après avoir promené amicalement