Page:Mommsen - Histoire romaine - Tome 3.djvu/43

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`A GUERRBAENTRE ROME. ET CARTHAGE 39 ··

— et?t4Et»nTa;Doncyversl’
in·!t70,_une;t1goupe«campanionne, _ m,,_*;,.G_

wjaçlis au. service :d·'Aga`thoclc, etquidepuis sa.·mort1(!t65) ‘”‘ ’8°· I ·.§; cherchait aventure- , .pour;~ som propre .zcompte», · savait , pcomme onvient de_·le',dire, occupé Messine, llatseconde . ··1·ville de la Sicile ygrecque, et le principallfoyen de la ‘ ` _mfaction_antisyracusainen dans `lapartiel du pays restée ·, au pouvoir des Grecst·Tous les citoyens_avaient?étéimas· I , sacrés ou chassés ;«les femmes,; les jeniants, les maisons, , ·, partagés entre les 1envahisseurs.—,Ainsi maîtresde la ville, _· les Mmrwrtms, ou pnfants d6iMm‘s·,(ils se·donnaientce Les 1\wr\i¤S· _ ,nom)`ne-tardèrent·pas·à,»f0nder un troisième«État.dans l'île, et ·me_ttant-,à profithles :;mub1¢S· qui;·suivirent la · mort; d’Agathocle ,, ils ,soumirent>·tout ·l’angle in0rd·est ,, de·,l’île.··Leuij succès neifut lpoint viu_.d’un«·œil—’délavo-

[able- par les,—Garthagin0is: au,·lieu;d'avoir;près·d’eux `

une ville apparentée, par la race, alliée ou· sujette,·;les V ' Syracusains ,allaient avoir—Ãafi`ai re ;àun voisin redoutable.

 Aussi avec;l? aide des Phéniciens , les Mamertinspurent- V

. ils _résister_à·Pyrrhus; ,et·le roi parti, ·reconquériuaussitç5t· _ ·· ,·toute_ leur·puissance~un instant;ref`0ulée.,Il .siérait,mal â ··l’l1ist0rien` d? atténuer en quoi que ce soitliattentatodieux I ‘ ·

par; ou.À_avaitydébuté leur établissement;dan_s;«Messine: _ .

I ··mais qu’on ne lïoublie pas non;plus,·le,dieu de,l’histoire n’est·pas le ;dieu_qui;<g venge le; crime des peressur les 4 _ ' .»»Ienfants,— jusquïà la quatrième génération! »_ Condamnez ' · ces··hom_mes; rien de mieux', si.vous;êtes, appeleràt juger . . ·la·,'faute— du prochain! Pour moii je ne ,pi1is,pas ne,pas · ' ,· -l‘600llll3î(.l‘6 Aqu’il·y avait là peut-êtrelejsalut de:la_f§icile. ’ _.=,Cette jeune etuvigoureuse,puissance;qui fonuaitlpar · i · ses seules forces, qui ,déjà mettait huitcmille hommes en

 Ãcampagne, ne pouvait;elle pas un,jou1j·releve1·;le,c0mbat

_j et-tenir tê,te,à·stous les_etrangers,;·alors,Jqu’en uépit des · in; guerres. contiuuclles lcSiGr·é0s>-Sicilicns aillaientisliaque · ‘ _ c=·jour:.désapp1·cuautlclmêticitdcsiannqqsï ‘· · ‘ · ·

 ;1l1.m’c¤;d¤vait»pas ·êu:¢ ai¤Si·· Un;-jeune ¢>apîtai¤3eSy¤·a- _