r ·'VlElLlJE REPUBLIQUE, 'NUUVELLE`n10NARC}iIE ` ss" ·_ vrai, il·$prendra·une— voie autre, ne s'arrogeant··point le jr
titre de roi, etsegardant. de "détruire ces vieux'noms ~ ·
`grandis,avec la glorieuse histoire dela république. _`Au“x ` ` ' " consuls,préteurs,_édiles,tribuns et questeurs, il maintien-- f d_ra leurcompétehee en la forme: mais leur situation ne , ' laissera pas que diêtre du. tout au tout changée. 1L’empire —· ramenéà la métropole; c’etait là_la pensée fondamentale ` ·sous.'lat,républiqué; et les magistrats 'muuîeipauibde. ·· ' Home étaient vraiment magistrats -de:l’emp_ire. Dans-la ·' ·—monarchie spésarienne, il en advintautrement: 'les ma- P gistrats de la capitale ne constituèrent plus ique la pre= I 1 _, micre des muniqzjœalitéy lé consulat ne fut plus qu’un .
ttitreznominal, sans ·autre signilïeation pratiqué que l’ex¤- .
I pcctativo yattachée d’uuÃgrand_ gouvernement 'provincial. r Par _la·main.de—César, la ville romaine subit le sort qu’elle ` avait de coutume réservé aux citéssujettes, etsasuze- A _ raineté se transforma en une sorte de francliisecommuë · ` nale au sein del’État.· · F = « < _ · Déjanous avons dit que.'les·préteurs etquesteurs furent _ doublés: autanten advint des édileslplébéiens, auxquels · sadjoignirent deux édilcs des céréales. (œdiles L·érmlés),’ " ï` 'préposésal’approvisiounement_de_ la ville. ,Bomé a touç ' »· jours la-nomination_ auxoftices, nomination libre pour ce ' " quicst du consulat, du~tribunat et dé_ lïédilité dupeuple: ` ~ nousavons indiqué plus haut que pour les préteursf les -· édilés curules et questeurs a nommerannuellemeut, l’em-· t' » .;pereur s?é_st—réservé le droit'de propositon, et`que·ce droit ' V 'liér-lcs électeurs. Nulle atteintédireetc aux antiques palla- ' diums des libertés Ãpopulaires': que-si toutefois tel ou tel _ ·' ' tribuuselmontrerécaleitraut, ou saitfort bien agi_r contre V _' _. lui, le déposérmêméét le rayer de la listedes sénateurs ll « _:Ljemp`eréur estson 'propre ministre dansjatoutesî les quesg _ j ' _ti_ons générales ou importantes: par ses serviteurs; ilzest _ maitres des. tinances_,; par seslieutenants, de l’armée g il ~ ‘[V.·supra,p._5$1t. 17] ,_ _A f' . r
