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Page:Montépin - La Porteuse de pain, 1973.djvu/264

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– Toute une éternité ! dit la jeune fille. Et vous ne serez pas là pour me tenir compagnie, maman Lison.

– Ça me cause un vrai regret, mignonne… Je viendrai vous embrasser chaque fois qu’un moment de liberté me le permettra.

– C’est cela, maman Lison… dit Lucien.

– Allons, je me sauve. Bon voyage, je vous souhaite, monsieur Lucien. Soyez tranquille, personne ne vous oubliera. »

Vers dix heures Lucien quitta Lucie, après lui avoir renouvelé sa promesse de lui écrire tous les jours.