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TABLE ANALYTIQUE


L. 103. — Leurs poésies, leurs romans, L. 137.

OSMAN. — Comment il fut déposé, L. 80.

Osmanlins, L. 6. — Voyez Turcs.


P


Palais (le), L. 86.

Pape. — Plus grand magicien que le roi de France, L. 24. — Son autorité, ses richesses, L. 29.

Papes. — Effet que leur histoire produit dans l’esprit des lecteurs, L. 136.

PARACELSE, L. 143.

Paradis. — Chaque religion diffère sur les joies qu’on doit y goûter, L. 125.

Paris. — Siège de l’empire de l’Europe, L. 24. — Embarras de ceux qui y arrivent, ibid. — Contient plusieurs villes bâties en l’air, ibid. — Embarras de ses rues, ibid. — Différents moyens d’y attraper de l’argent, L. 58. — Chacun n’y vit que de son industrie ; rend les étrangers plus précautionnés ; tous les états y sont confondus, L. 88. — C’est la ville la plus voluptueuse, et celle où la vie est le plus dure, L. 106.

Parisiens. — Leur curiosité ridicule, L. 30.

Parlement. — Ce que c’est, L.92. — Matières qui y sont le plus souvent agitées, L. 86. — On y prend les voix à la majeure, ibid. — Querelle importante qu’il décide, L. 109. — Relégué à Pontoise ; pourquoi, L. 140.

Paysans. — Lorsqu’ils sont dans la misère, leur fécondité est inutile à l’État, L. 122.

Pécule. — Celui que les Romains laissaient à leurs esclaves animait les arts et l’industrie, L. 115.

Peines. — Elles doivent être modérées ; pourquoi, L. 80. — Leur proportion avec les crimes fait la sûreté des princes de l’Europe ; leur disproportion met, à chaque instant, la vie des princes asiatiques en danger, L. 10 ?.

Pèlerinage de la Mecque, L. 15. — de saint Jacques en Galice, L. 29.

Pensions, L. 124.

Pères. — Le respect qu’on leur porte en Chine contribue à la population, L. 119.

Persanes. — Elles obéissent et commandent en même temps à leurs eunuques, L. 2. — Moyens qu’elles emploient pour obtenir la primauté dans le sérail, L. 3. — On ne leur permet pas de privautés, même avec les personnes de leur sexe, L. 4, 147. — Ne voient jamais qu’un seul homme en leur vie, L. 7. — Sont plus étroitement gardées que les femmes turques et indiennes, ibid. — Flux et. reflux d’empire et de soumission dans les sérails, entre elles et les eunuques, L. 9. — Tout commerce avec les eunuques blancs leur est interdit, L. 20. — Opiniâtreté avec laquelle elles défendent leur pudeur dans les commencements de leur mariage, L. 26, 48, 55. — Leur façon de voyager ; on tue tous les hommes qui approchent leur voiture de trop prés, L. 47. — On les laisserait plutôt périr que de les sauver, si, pour le faire, il fallait les exposer aux regards des hommes, ibid. — A quel âge on les enferme dans le sérail, L. 62. — Leurs caractères