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TABLE ANALYTIQUE

ARRINGTON. Cause de son erreur sur la liberté, XI, 6. Jugement sur cet auteur anglois, XXIX, 19.

ARTAXERÈS. Pourquoi il fit mourir tous ses enfants, V, 14. Artisans» Ne doivent point, dans une bonne démocratie, avoir le droit de cité, IV, 8.

Arts, Les Grecs, dans les temps héroïques, élevoient au pouvoir suprême ceux qui les avoient inventés, XI, 11. C’est la vanité qui les perfectionne, XIX, 9. Leurs causes et leurs effets, XXI, 6. Dans nos états, ils sont nécessaires à la population, XXIII, 15.

As. Révolutions que cette monnoie essuya à Rome dans sa valeur, XXII, 11.

Asiatiques. D’où vient leur penchant pour le crime contre nature, XII, 6. Regardent comme autant de faveurs les insultes qu’ils reçoivent de leur prince, XII, 28.

Asie. Pourquoi les peines fiscales y sont moins sévères qu’en Europe, XIII, 11. On n’y publie guère d’édits que pour le bien et soulagement des peuples : c’est le contraire en Europe, XIII, 15. Pourquoi les derviches y sont en aussi grand nombre, XIV, 7. C’est le climat qui y a introduit et qui y maintient la polygamie, XVI, 2. Il y naît beaucoup plus de filles que de garçons : la polygamie peut donc y avoir lieu, XVI, 4. Pourquoi dans les climats froids de ce pays, une femme peut avoir plusieurs maris, ibid. Causes physiques du despotisme qui la désole, XVII, 3. Ses différents climats comparés avec ceux de l’Europe : causes physiques de leurs différences : conséquences qui résultent de cette comparaison pour les mœurs et le gouvernement de ses différentes nations : raisonnements de l’auteur confirmés à cet égard par l’histoire, ibid. Quel étoit autrefois son commerce : comment et par où il se faisoit, XXI, 6. Époques et causes de sa ruine, XXI, 12. Quand et par qui elle fut découverte : comment on y fit le commerce, XXI, 21.

Asie Mineure. Étoit pleine de petits peuples, et regorgeoit d’habitants avant les Romains, XXIII, 18.

Asile. La maison d’un sujet fidèle aux lois et au prince doit être son asile contre l’espionnage, XII, 23.

Asiles. Leur origine : les Grecs en prirent plus naturellement l’idée que les autres peuples : cet établissement, qui étoit sage d’abord, dégénéra en abus, et devint pernicieux XXV, 3. Pour quels criminels ils doivent être ouverts, ibid. Ceux que Moïse établit étoient très-sages : pourquoi, ibid.

Assemblée du peuple. Le nombre des citoyens qui y ont voix doit être fixé dans la démocratie, II, 2. Exemple célèbre des malheurs qu’entraîne ce défaut de précaution, ibid. Pourquoi, à Rome, on ne pouvoit pas faire de testament ailleurs, XXVII, 1.

Assemblées de la nation, chez les Francs, XVIII, 30. Étoient fréquentes sous les deux premières races : de qui composées : quel en étoit l’objet, XXVIII, 9.

Assignation. Ne pouvoit, à Rome, se donner dans la maison du défendeur : en France, ne peut pas se donner ailleurs. Ces deux lois qui sont contraires, dérivent du même esprit, XXIX, 10.

Assises. Peines de ceux qui avoient