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ET ALPHABÉTIQUE.


se trouvèrent dépouillés de tout leur domaine, XXXI, 30. Comment la couronne passa, de leur maison, dans celle des Capétiens, XXXI, 32.

Carthage. La perte de sa vertu la conduisit à sa ruine, III, 3. Époques des différentes gradations de la corruption de cette république, VIII, 14. Véritables motifs du refus que cette république fit d’envoyer des secours à Annibal, X, 6. Étoit perdue , si Annibal avoit pris Rome, ibid. A qui le pouvoir de juger y fut confié, XI, 18. Nature de son commerce, XX, 4. Son commerce ; ses découvertes sur les côtes d’Afrique, XXI, 12. Ses précautions pour empêcher les Romains de négocier sur mer, ibid. Sa ruine augmenta la gloire de Marseille, ibid.

Carthaginois. Plus faciles à vaincre chez eux qu’ailleurs, pourquoi, IX, 8. La loi qui leur défendoit de boire du vin, étoit une loi de climat, XIV, 10. Ne réussirent pas à faire le tour de l’Afrique, XXI, 10. Trait d’histoire qui prouve leur zèle pour leur commerce, XXI, 11. A voient-ils l’usage de la boussole ? ibid. Bornes qu’ils imposèrent au commerce des Romains ; comment tinrent les Sardes et les Corses dans la dépendance, XXI, 21.

CARVILIUS REGA. Est-il bien vrai qu’il soit le premier qui ait osé, à Rome, répudier sa femme ? XVI, 16.

Caspienne. Voyez Mer.

Cassitérides. Quelles sont les lies que l’on nommoit ainsi, XXI, 11.

CASSISUS. Pourquoi ses enfants ne furent pas punis pour raison de la conspiration de leur père, XII, 18.

Caste. Jalousie des Indiens pour la leur, XXVI, 6.

Castille. Le clergé y a tout envahi, parce que les droits d’indemnité et d’amortissement n’y sont point connus, XXV, 5.

Catholicisme. Pourquoi haï en Angleterre : quelle sorte de persécution il y essuie, XIX, 27. Il s’accommode mieux d’une monarchie que d’une république, XXIV, 5. Les pays où il domine peuvent supporter un plus grand nombre de fêtes que les pays protestants, XXIV, 23.

Catholiques. Pourquoi sont pi us attachés à leur religion que les protestants, XXV, 2.

CATON. Prêta sa femme à Hortensias, XXVI, 18.

CATON l'Ancien. Contribua de tout son pouvoir pour faire recevoir à Rome les lois Voconienne et Oppienne : pourquoi, XXVII, 1.

Causes majeures. Ce que c’étoit autrefois parmi nous : elles étoient réservées au roi, XXVIII, 8.

Célibat. Comment César et Auguste entreprirent de le détruire à Rome, XXIII, 21. Comment les lois romaines le proscrivirent : le christianisme le rappela, ibid. Comment et quand les lois romaines contre le célibat furent énervées, ibid. L’auteur ne blâme point celui qui a été adopté par la religion, mais celui qu’a formé le libertinage, ibid. Combien il a fallu de lois pour le faire observer à de certaines gens, quand, de conseil qu’il étoit, on en fit un précepte, XXIV, 7. Pourquoi il a été plus agréable au peuple, à qui il sembloit convenir le moins, XXV, 4. Il n’est pas mauvais en lui-même : il ne l'est que dans le cas où il