XXIII, 24. C’est peut-être avec
raison qu’on a exclu les filles du
droit d’y succéder, XXVI, 6. En
les rendant héréditaires, on fut
obligé d’introduire plusieurs usages
auxquels les lois saliques, ripuaires,
etc., n’étoient plus applicables,
XXVIII, 9. Leur multiplicité
introduisit, en France, une
dépendance plutôt féodale que politique,
ibid. Origine de la règle
qui dit : autre chose est le fief, autre
chose est la justice, XXVIII, 27.
Leur origine ; théorie de leurs lois,
et causes des révolutions qu’elles
ont essuyées, Livres XXX et
XXXI. Il n’y en avoit point d’autres
chez les Germains, que des
chevaux de bataille, des armes et
des repas ; mais il y avoit des vassaux,
XXX, 3. Est-il vrai que les
Francs les ont établis en entrant
dans la Gaule ? XXX, 5. Le partage
des terres qui se fit entre les
Barbares et les Romains, prouve
que les Romains ne furent pas tous
mis en servitude ; et que ce n’est
point dans cette prétendue servitude
générale qu’il faut chercher
l’origine des fiefs, XXX, 7. Leur
origine est la même que celle
de la servitude de la glèbe :
quelle est cette origine, XXX, 11.
Par quelle superstition l’église en
a acquis, ibid. Ne tirent point
leur origine des bénéfices militaires
des Romains, XXX, 12.
On en accordoit souvent les privilèges
à des terres possédées
par des hommes libres, XXX, 13.
Différents noms que l’on a donnés
à cette espèce de biens, dans les
différents temps, XXX, 16. Furent
d’abord amovibles : preuves, ibid.
Le fredum ne pouvoit appartenir
qu’au seigneur du fief, à l’exclusion
même du roi ; d’où il suit
que la justice no pouvoit appartenir
qu’au seigneur du fief, XXX,
20. Celui qui avoit le fief, avoit
aussi la justice, ibid. Au défaut
des contrats originaires de concession,
ou trouve-t-on la preuve
que les justices étoient originairement
attachées aux fiefs ? XXX,
22. Ne se donnoient originairement
qu’aux antrustions et aux
nobles, XXX, 25. Quoiqu’amovibles,
ne se donnoient et ne s’ôtoient
pas par caprice : comment
se donnoient : on commença à
s’en assurer la possession à vie,
par argent, dès avant le règne de
la reine Brunehault, XXXI, 1.
Étoient héréditaires, dès la fin
de la première race, XXXI, 7. Il
ne faut pas confondre ceux qui
furent créés par Charles Martel,
avec ceux qui existoient avant,
ibid. Ceux qui les possédoient autrefois
s’embarrassoient peu de
les dégrader : pourquoi, XXXI, 8.
N’étoient destinés, dans le principe,
que pour la récompense des
services : la dévotion en fit un
autre usage, XXXI, 9. Comment
les biens de l’église furent convertis
en fiefs, ibid. Les biens de
l’église, que Charles Martel donna
en fief, étoient-ils à vie ou à perpétuité ?
XXXI, 14. Origine des
grands fiefs d’Allemagne possédés
par les ecclésiastiques, XXXI, 19.
Quand tout le monde devint capable
d’en posséder, XXXI, 24.
Quand et comment les fiefs se
formèrent des aïeux, XXXI, 25.
Quand et comment il s’en forma
qui ne relevoient point du roi,
XXXI, 26. Quand et dans quelles
occasions ceux qui les tenoient
étoient dispensés d’aller à la
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ET ALPHABÉTIQUE.