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ET ALPHABÉTIQUE.


ruine l’état, ibid. Ceux qui se perçoivent sur les différentes clauses des contrats civils, sont funestes au peuple, et ne sont utiles qu’aux traitans. Ce qu’on y pourrait substituer, XIII, 9. L’impôt par tète est plus naturel à la servitude ; celui sur la marchandise est plus naturel à la liberté, XIII 14. Pourquoi les Anglais en supportent de si énormes, XIX, 27. C’est une absurdité que de dire que, plus on est chargé d’impôts, plus on se met en état de les payer, XXIII, 11.

Impuissance. Au bout de quel temps on doit permettre à une femme de répudier son mari, qui ne peut pas consommer son mariage, XXIX, 16.

Impureté. Comment ce crime doit être puni. Dans quelle classe il doit être rangé, XII, 4.

Inceste. Raisons de l’horreur que cause ce crime, dans ses différents degrés, à tous les peuples, XXVI, 13.

Incidents. Ceux des procès, tant civils que criminels, se décidoient par la voie du combat judiciaire, XXVIII, 19.

Incontinence. Ne suit pas les lois de la nature ; elle les viole, XVI, 12. Incontinence publique. Est une suite du luxe, VII, 13.

Indemnité. Est due aux particuliers, quand on prend sur leurs fonds pour bâtir un édifice public, ou pour faire un grand chemin, XXVI, 15.

Indemnité (droit d’). Son utilité. La France lui doit une partie de sa prospérité ; il faudrait encore y augmenter ce droit, XXV, 5.

Indes. On s’y trouve très-bien du gouvernement des femmes. Cas où on leur défère la couronne à l’exclusion des hommes, VII, 17. Pourquoi les derviches y sont en si grand nombre, XIV, 7. Extrême lubricité des femmes indiennes. Causes de ce désordre, XVI, 10. Caractère des différents peuples indiens, XIX, 9. Pourquoi on n’y a jamais commercé, qu’avec de l’argent, XXI, 1 et 6. Comment, et par où le commerce s’y faisoit autrefois, XXI, 4. Pourquoi les navires indiens étoient moins vites que ceux des Grecs ou des Romains, XXI, 6. Comment et par où on y faisoit le commerce après Alexandre, XXI, 9 et 16. Les anciens les croyoient jointes à l’Afrique par une terre inconnue, et ne regardoient la mer des Indes que comme un lac, XXI, 11. Leur commerce avec les Romains étoit-il avantageux ? XXI, 16. Projets proposés par l’auteur sur le commerce qu’on y pourroit faire, XXI, 23. Si on y établissent une religion, il faudrait, quant au nombre des fêtes, se conformer au climat, XXIV, 23. Le dogme de la métempsycose y est utile ; raisons physiques, XXIV, 24. Précepte de la religion de ce pays, qui ne pourraient pas être exécutés ailleurs, XXIV, 26. Jalousie que l’on y a pour sa caste. Quels y sont les successeurs à la couronne, XXVI, 6. Pourquoi les mariages entre beau-frère et belle-sœur y sont permis, XXVI, 14. De ce que les femmes s’y brûlent, s’ensuit-il qu’il n’y ait pas de douceur dans le caractère des Indiens ? D. II e partie, art. Climat.

Indiens. Raisons physiques de la force et de la foiblesse qui se trouvent tout à la fois dans le