XXIII, 18. Les hommes et les
femmes y sont plutôt stériles que
dans le nord, XXIII, 21. L’usage
de récriture s’y conserva, malgré la
barbarie qui le fit perdre partout
ailleurs : c’est ce qui empêcha les
coutumes de prévaloir sur les
lois romaines dans les pays de
droit écrit, XXVIII, 11. L’usage
du combat judiciaire y fut porté
par les Lombards, XXVIII, 18. On
y suivit le code de Justinien, dès
qu’il fut retrouvé, XXVIII, 42.
Pourquoi ses lois féodales sont
différentes de celles de France,
XXX, 11.
Ivrognerie. Baisons physiques du penchant des peuples du Nord pour le vin, XIV, 2. Est établie par toute la terre, en proportion de la froideur et de l’humidité, XIV, 10
JACQUES I. Pourquoi fit des lois somptuaires en Aragon. Quelles elles furent, VII, 5.
JACQUES II, roi de Majorque. Paroît être le premier qui ait créé une partie publique, XXVIII, 36.
Jalousie. Il y en a de deux sortes ; l'une de passion ; l’autre de coutumes, de mœurs, ou de lois : leur nature ; leurs effets, II, 18
Janicule. Voyez Mont Janicule.
Japon. Les lois y sont impuissantes, parce qu’elles sont trop sévères, VI, 13. Exemples des lois atroces de cet empire, XII, 14. Pourquoi la fraude y est un crime capital, XIII, 11. Est tyrannisé par les lois, XIX, 4. Pertes que lui cause, sur son commerce, le privilège exclusif qu’il a accordé aux Hollandois et aux Chinois, XX, 9. Il fournit la preuve des avantages infinis que peut tirer du commerce une nation qui peut supporter à la fois une grande importation et une grande exportation, XX, 23. Quoiqu’un homme y ait plusieurs femmes, les enfants d’une seule sont légitimes, XXIII, 5. Il y naît plus de filles que de garçons ; il doit donc être plus peuplé que l’Europe, XXIII, 12. Cause physique de la grande population de cet empire, XXIII, 13. Si les lois y sont sévères et sévèrement exécutées, c’est parce que la religion dominante dans cet empire n’a presque point de dogmes, et qu’elle ne promet aucun avenir, XXIV, 14. Il y a toujours, dans son sein, un commerce que la guerre ne ruine pas, XXIV, 16. Pourquoi les religions étrangères s’y sont établies avec tant de facilité, XXV, 2. Lors de la persécution du christianisme, on s’y révolta plus contre la cruauté des supplices, que contre la durée des peines, XXV, 12. On y est autant autorisé à faire mourir les chrétiens à petit fou, que l’inquisition à faire brûler les Juifs, XXV, 13. C’est l’atrocité du caractère des peuples, et la soumission rigoureuse que le prince exige, qui rendent la religion chrétienne si odieuse dans ce pays. XXV, 14. On n’y dispute jamais sur la religion. Toutes, hors celle des chrétiens, y sont indifférentes, ibid.
Japonais. Leur caractère bizarre et atroce. Quelles lois il auroit fallu leur donner, VI, 13. Exemple de la cruauté de ce peuple, ibid. Ont des supplices qui font frémir