Page:Montesquieu - Œuvres complètes, éd. Laboulaye, t6.djvu/498

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
482
TABLE ANALYTIQUE


n’étoit pas bonne, XV, 12. Leurs esclaves sont devenus redoutables à mesure que les mœurs se sont corrompues, et qu’ils ont fait contre eux des lois plus dures. Détail de ces lois, XV, 16. Mithridate profitait de la disposition des esprits, pour leur reprocher les formalités de leur justice, XIX, 2. Les premiers ne vouloient point de roi, parce qu’ils en craignoient la puissance : du temps des empereurs, ils ne vouloient point de roi, parce qu’ils n’en pouvoient souffrir les manières, XIX, 3. Trouvoient, du temps de empereurs, qu’il y avoit plus de tyrannie à les priver d’un baladin, qu’à leur imposer des lois trop dures, ibid. Idée bizarre qu’ils avoient de la tyrannie, sous les empereurs, ibid. Étoient gouvernés par les maximes du gouvernement et les mœurs anciennes, XIX, 4. Leur orgueil leur fut utile, parce qu’il étoit joint à d’autres qualités morales, XIX, 8. Motifs de leurs lois au sujet des donations à cause de noces, XIX, 25. Pourquoi leurs navires étoient plus vîtes que ceux des Indes, XXI, 6. Plan de leur navigation : leur commerce aux Indes n’étoit pas si étendu, mais étoit plus facile que le nôtre, XXI, 10. Ce qu’ils connoissoient de l’Afrique, ibid. Où étoient les mines d’où ils tiroient l’or et l’argent) XXI, 11. Leur traité avec les Carthaginois, touchant le commerce maritime, ibid. Belle description du danger auquel Mithridate les exposa, XXI, 12. Pour ne pas paraître conquérants, ils étoient destructeurs : conséquence de ce système, ibid. Leur génie pour la marine, XXI, 13. La constitution politique de leur gouvernement, leur droit des gens, et leur droit civil, étoient opposés au commerce, XXI, 14. Comment réussissent à faire un corps d’empire de toutes les nations conquises, XXI, 15. Ne vouloient point de commerce avec les barbares, ibid. N’avoient pas l’esprit de commerce, ibid. Leur commerce avec l’Arabie et les Indes, XXI, 16. Pourquoi le leur fut plus considérable que celui des rois d’Égypte, ibid. Leur commerce intérieur, ibid. Beauté et humanité de leurs lois, XXI, 17. Ce que devint le commerce après leur affaiblissement en Orient, XXI, 19. Quelle étoit originairement leur monnoie ; ses inconvénients, XXII, 2. Les changements qu’ils firent dans leur monnoie sont des coups de sagesse qui ne doivent pas être imités, XXII, 11. On ne les trouve jamais si supérieurs que dans le choix des circonstances où ils ont fait les biens et les maux, XXII, 12. Changements que leurs monnoie essuyèrent sous les empereurs, XXII, 13. Taux de l’usure dans les différents temps de la république : comment on éludoit les lois contre l’usure : ravages qu’elle fit, XXII, 21. État des peuples, avant qu’il y eût des Romains, XXin, 18. Ont englouti tons les états et dépeuplé l’univers, XXIII, 19. Furent dans la nécessité de faire des lois pour la propagation de l’espèce : détail de ces lois, XXIII, 20 et 21. Leur respect pour les vieillards, XXIII, 21. Leurs lois et leurs usages sur l’exposition des enfants, XXIII, 22. Tableau de leur empire, dans le temps de sa décadence, XXIII, 23. N’auroient pas commis les ravages