cessé, III. 365, 366. Comment rendoient la justice, III. 395. Quand & comment leur juridiction commença à s’étendre, III. 395, 396. Ne jugeoient pas d’abord ; faisoient seulement l’instruction, & prononçoient le jugement fait par les prud’hommes : quand commencerent à juger eux-mêmes, & même seuls, III. 396, 397. Ce n’est point pas une loi qu’ils ont été créés, & qu’ils ont eu le droit de juger, III. 398. L’ordonnance de 1287, que l’on regarder comme le titre de leur création, n’en dit rien : elle ordonne seulement qu’ils seront pris parmi les laïques, preuves, ibid.
Balbi. Pensa faire étouffer de rire le roi de Pégu, en lui apprenant qu’il n’y avoit point de roi à Venise, II. 186, 187.
Baleine. La pêche de ce poisson ne rend presque jamais ce qu’elle coûte : elle est cependant utile aux Hollandois, II. 247, 248.
Baluze. Erreur de cet auteur prouvée & redressée, IV. 117, 118.
Ban. Ce que c’étoit dans le commencement de la monarchie, IV. 52.
Banques. Sont un établissement propre au commerce d’économie : il n’en faut point dans une monarchie, II. 251, 252. Ont avili l’or & l’argent, II. 358.
Banque de Saint-Georges. L’influence qu’elle donne au peuple de Genes dans le gouvernement fait toute la prospérité de cet état, I. 26, 27.
Banquiers. En quoi consiste leur art & leur habileté, III. 28. Sont les seuls qui gagnent, lorsqu’un état hausse ou baisse la monnoie, III. 29 & suiv. Comment peuvent être utiles à un état, III. 45.
Bantham. Comment les successions y sont réglées, I. 124. Il y a dix femmes pour un homme : c’est un cas bien particulier de la polygamie, II. 101. On y marie les filles à treize ou quatorze ans, pour prévenir leurs débauches, II. 111. Il y naît trop de filles pour que la propagation y puisse être proportionnées à leur nombre, III. 78.
Barbares. Différence entre les barbares & les sauvages, II. 150, 151. Les Romains ne vouloient point