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TABLE

des révolutions : pourquoi, I. 256, 257. Cet empire est gouverné par les lois & par le despotisme en même temps : explication de ce paradoxe, I. 257, 258. Son gouvernement est un modele de conduite pour les conquérans d’un grand état, I. 302, 303. Quel est l’objet de ses lois, I. 310. Tyrannie injuste qui s’y exerce, sous prétexte de crime de lese-majesté, I. 393, 394. L’idée qu’on a du prince y met peu de liberté, I. 428. On n’y ouvre point les ballots de ceux qui ne sont pas marchands, II. 15. Les peuples y sont heureux, parce que les tributs y sont en régie, II. 28. Sagesse de ses lois qui combattent la nature du climat, II. 42. Coutume admirable de cet empire pour encourager l’agriculture, II. 44, 45. Les lois n’y peuvent pas venir à bout de bannir les eunuques des emplois civiles & militaires, II. 95. Pourquoi les mahométans y font tant de progrès, & les chrétiens si peu, II. 98. Ce qu’on y regarde comme un prodige de vertu, II. 106, 107. Les peuples y sont plus ou moins courageux, à mesure qu’ils approchent plus ou moins du midi, II. 125. Cause de la sagesse de ses lois : pourquoi on n’y sent point les horreurs qui accompagnent la trop grande étendue d’un empire, II. 145, 146. Les législateurs y ont confondu la religion, les lois, les mœurs & les manieres : pourquoi, II. 203 & suiv. Les principes qui regardent ces quatre points sont ce qu’on appelle les rites, II. 209 & suiv. Avantage qu’y produit la façon composée d’écrire, II. 206. Pourquoi les conquérans de la Chine sont obligés de prendre ses mœurs ; & pourquoi elle ne peut pas prendre les mœurs des conquérans, II. 207, 208. Il n’est presque pas possible que le christianisme s’y établisse jamais : pourquoi, II. 208, 209. Comment les choses qui paroissent de simples minuties de politesse y tiennent avec la constitution fondamentale du gouvernement, II. 210, 211. Le vil y est défendu ; la friponnerie y est permise : pourquoi, II. 211, 212. Tous les enfans d’un même homme, quoique né de diverses femmes, sont censés n’appartenir qu’à une seule : ainsi point de bâtards,