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DES MATIERES

191, 192. Quand leurs offices commencerent à devenir héréditaires & attachés à des fiefs, IV. 194 & suiv.

Comtés. Ne furent pas donnés à perpétuité en même temps que les fiefs, IV. 132.

Concubinage. Contribue peu à la propagation : pourquoi, III. 67. Il est plus ou moins flétri, suivant les divers gouvernemens, & suivant que la polygamie ou le divorce sont permis ou défendus, III. 71. Les lois romaines ne lui avoient laissé de lieu, que dans le cas d’une très-grande corruption de mœurs, III. 71, 72.

Condamnation de dépens. N’avoit point lieu autrefois en France en cour laie : pourquoi, III. 370 & suiv.

Condamnés. Leurs biens étoient consacrés à Rome : pourquoi, I. 158.

Conditions. En quoi consistoient leurs différences chez les Francs, III. 277.

Confesseurs des rois. Sage conseil qu’ils devroient bien suivre, I. 275.

Confiscations. Fort utiles & justes dans les états despotiques : pernicieuses & injustes dans les états modérés, I. 131, 132. Voyez Juifs.

Confiscation des marchandises. Loi excellente des Anglois sur cette matiere, II. 256.

Confrontation des témoins avec l’accusé. Est une formalité requise par la loi naturelle, III. 194, 195.

Confucius. Sa religion n’admet point l’immortalité de l’ame ; & tire de ce faux principe des conséquences admirables pour la société, III. 150.

Conquérans. Causes de la dureté de leur caractere, I. 168. Leurs droits sur le peuple conquis, I. 276 & suiv. Jugement sur la générosité prétendue de quelques uns, I. 304, 305.

Conquête. Quel en est l’objet, I. 10. Lois que doit suivre un conquérant, I. 276 & suiv. Quand elle est faite, le conquérant n’a plus de droit de tuer : pourquoi, I. 278, 279. Son objet n’est point la servitude, mais la conservation : conséquences de ce principe, I. 279. Avantages qu’elle peut apporter au peuple conquis, I. 281 & suiv. (Droit de). Sa