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DES MATIERES.

census, & en tire toutes les conséquences qui lui plaisent, IV. 36, 37. Idée générale de son livre : pourquoi étant mauvais il a séduit beaucoup de gens : pourquoi il est si gros, IV. 83, 84. Tout son livre roule sur un faux sytême : réfutation de ce systême, IV. 84 & suiv. Son systême sur l’origine de notre noblesse françoise est faux & injurieux au sang de nos premieres familles, & aux trois grandes maisons qui ont régné successivement sur nous, IV. 92 & suiv. Fausse interprétation qu’il donne au décret de Childebert, IV. 97 & suiv. Son éloge, & celui de ses autres ouvrages, IV. 104, 105.

Ducs. En quoi différoient des comtes : leurs fonctions, IV. 54, 55. Où on les prenoit chez les Germains : leurs prérogatives, IV. 61, 62. C’étoit en cette qualité, plutôt qu’en qualité de rois, que nos premiers monarques commandoient les armées, IV. 1234.

Ducange (M.). Erreur de cet auteur relevée, IV. 78.

Duels. Origine de la maxime qui impose la nécessité de tenir sa parole à celui qui a promis de se battre, III. 321. Moyen plus simple d’en abolir l’usage que ne font les peines capitales, III. 331. Voyez Combat judiciaire.


E

Eau bouillante. Voyez Preuve par l’eau bouillante. Echange. Dans quel cas on commence par échange, III. 1.

Echevins. Ce que c’étoit autrefois : respect qui étoit dû à leurs décisions, III. 351. Etoient les mêmes personnes que les juges & les rathimburges, sous différens noms, IV. 56.

Ecclésiastiques. La roideur avec laquelle ils soutinrent la preuve négative par serment, par la seule raison qu’elle se faisoit dans les églises, fit étendre la preuve par le combat contre laquelle ils étoient déchaînés, III. 309 & suiv. Leurs entreprises sur la juridiction laye, III. 388, 389. Moyens par lesquels ils se sont enrichis, III. 391. Vendoient aux nou-