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TABLE

acquit, IV. 73 & suiv. Comment ses biens furent convertis en fiefs, IV. 138 & suiv.

Eglises. La piété les fonda ; & l’esprit militaire les fit passer entre les mains des gens de guerre, IV. 141. Les laïques s’en étoient emparés, sans que les évêques pussent faire usage des lois qui proscrivoient cet abus : autorité qui étoit restée aux évêques de ce temps-là : source de toutes ces choses, IV. 143 & suiv.

Egypte. Est le principal siege de la peste, II. 51, 52. Est un pays formé par l’industrie des hommes, II. 143. Quand & comment devint le centre de l’univers, II. 300 & suiv. Plan de la navigation de ses rois, II. 307. Par où il seroit avantageux d’en préférer la route à celle du cap de Bonne-Espérance, II. 308. Pourquoi son commerce aux Indes fut moins considérable que celui des Romains, II. 335 & suiv. Son commerce & sa richesse après l’affoiblissement des Romains en orient, II. 340. C’est le seul pays & ses environs, où une religion qui défend l’usage du cochon puisse être bonne : raisons physiques, III. 158, 159.

Egyptiens. Leur pratique sur la lepre a servi de modele aux lois des Juifs touchant cette maladie, II. 49. Nature & étendue de leur commerce, II. 281. Ce qu’ils connoissoient des côtes orientales de l’Afrique, du temps de leurs rois grecs, II. 310. Pourquoi avoient consacré certaines familles au sacerdoce, III. 170. Leur stupide superstition, lorsque Cambyse les attaqua, prouve qu’il ne faut point décider par les préceptes de la religion, lorsqu’il s’agit de ceux de la loi naturelle, III. 204. Epousoient leurs sœurs en l’honneur d’Isis, III. 220. Pourquoi le mariage entre le beau-frere & la belle-sœur étoit permis chez eux, III. 222, 223. Le jugement qu’ils porterent de Solon, en sa présence, appliqué à ceux qui rendent modernes les siecles anciens, IV. 37, 38.

Elections. Avantages de celles qui se font par le sort dans les démocraties, I. 22. Comment Solon a corrigé les défectuosités du sort, ibid. Pourquoi les rois ont abandonné pendant quelque temps le