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DES MATIERES.

confirmés en parlement, III. 279. Le code que nous avons sous ce nom est un ouvrage sur les établissemens, & non pas les établissemens même, III. 380, 381. Ce que c’est, comment, par qui a été fait ce code, & d’où il a été tiré, III. 281 & suiv.

Établissement-le-roi. Ce que c’étoit du temps de Saint Louis, III. 361. Ce code est un ouvrage très-précieux ; pourquoi : ses défauts, sa forme, III. 384, 385.

Établissemens de la monarchie françoise. Voy. Dubos.

État. Comment les états se sont formés, & comment subsistent, I. 12. Quelle en doit être la grandeur, pour qu’ils soient dans leur force, I. 267 & suiv. Plus un état est vaste, plus il est facile de le conquérir, I. 268, 269. Vie des états comparée avec celle de hommes : de cette comparaison dérive le droit de la guerre, I. 274 & suiv. Chaque état, outre la conservation, qui est leur objet général, en a un particulier, I. 310, 311. De combien de manieres un état peut changer, 347. Quel est l’instant où il est le plus florissant, I. 348. Sa richesse dépend de celle des particuliers : conduite qu’il doit tenir à cet égard, II. 8, 9. Doit à tous les citoyens une subsistance assurée, la nourriture, un vêtement convenable, un genre de vie qui ne soit point contraire à la santé, III. 120. Un grand, devenu accessoire d’un autre, s’affoiblit, & affoiblit le principal : conséquences de ce principe, au sujet de la succession à la couronne, III. 236, 237.

État civil. Ce que c’est, II. 12.

État modéré. Quelles y doivent être les punitions, I. 167.

État politique. De quoi est formé, I. 11.

États. Étoient fréquemment assemblés sous les deux premieres races : de qui composés, quel en étoit l’objet, III. 288, 289.

États (Pays d’). On ne connoît pas assez en France la bonté de leur gouvernement, II. 17.

Éthiopie. C’est la religion chrétienne qui en a banni le despotisme, III. 128.

Étrangers. Ceux qui arrivoient autrefois en France étoient traités comme des serfs : de ce fait, l’auteur