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DES MATIERES.

Ne doivent point, en France, gêner les manieres ; elles gêneroient les vertus, II. 190, 191. Quand commencerent, en France, à plier sous l’autorité des coutumes, III. 295, 296.

Lois (Germains). Leurs différens caracteres, III. 265 & suiv.

Lois humaines. Tirent leur principal avantage de leur nouveauté, III. 194. Voyez Lois divines.

Lois (Japon). Pourquoi sont si séveres au Japon, II. 58, 59. Tyrannisent le Japon, II. 189. Punissent au Japon la moindre désobéissance ; c’est ce qui a rendu la religion chrétienne odieuse, III. 188.

Lois juliennes. Avoient rendu le crime de lese-majesté arbitraire, I. 398, 399. Ce que c’étoit, III. 92 & suiv. On n’en a plus que des fragmens : où se trouvent ces fragmens : détail de leurs dispositions contre le célibat, III. 95 & suiv.

Lois (liberté). De celles qui forment la liberté publique dans son rapport avec la contribution, I. 306-378. De celles qui forment la liberté politique, dans son rapport avec le citoyen, I. 379-430. Comment forment la liberté du citoyen, I. 380. Paradoxe sur la liberté, I. 382. Authenticité que doivent avoir celles qui privent un seul citoyen de sa liberté, lors même que c’est pour conserver celle de tous, I. 413, 414. De celles qui sont favorables à la liberté des citoyens, dans une république, I. 414, 415. De celles qui peuvent mettre un peu de liberté dans les états despotiques, I. 427 & suiv. N’ont pas pu mettre la liberté des citoyens dans le commerce, II. 64. Peuvent être telles, que les travaux les plus pénibles soient faits par des hommes libres & heureux, II. 73, 74.

Lois (mariage). Ont, dans certains pays, établi divers ordres de femmes légitimes, III. 69, 70. Dans quel cas il faut suivre les lois civiles, en fait de mariage, plutôt que celles de la religion, en fait de mariage, plutôt que celles de la religion, III. 213 & suiv. Dans quel cas les lois civiles doivent régler les mariages entre parens ; dans quel cas ils doivent être par les lois de la nature, III. 216 & suiv.