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DES MATIERES.


Maurice, empereur. Outra la clémence, I. 192. Injustice faite sous son regne, sous prétexte de magie, I. 389, 390.

Maximin. Sa cruauté étoit mal entendue, I. 183.

Méaco. Est une ville sainte au Japon, qui entretient toujours le commerce dans cet empire, malgré les fureurs de la guerre, III. 146.

Mecque. Gengis-kan en trouvoit le pélérinage absurde, III. 166.

Médailles fourées. Ce que c’est, III. 41.

Médecins. Pourquoi étoient punis de mort à Rome ; pour négligence ou pour impéritie, & ne le sont pas parmi nous, III. 426, 427.

Mendians. Pourquoi ont beaucoup d’enfans : pourquoi se multiplient dans les pays riches ou superstitieux, III. 76, 77.

Mensonges. Ceux qui se font au Japon, devant les magistrats, sont punis de mort. Cette loi est-elle bonne ? I. 175.

Mer antiochide. Ce que l’on appelloit ainsi, II. 301.

Mer caspienne. Pourquoi les anciens se sont si fort obstinés à croire que c’étoit une partie de l’océan, II. 302, 303.

Mer des Indes. Sa découverte, II. 282.

Mer rouge. Les Egyptiens en abandonnoient le commerce à tous les petits peuples qui y avoient des ports, II. 281. Quand, & comment on en fit la découverte, II. 300 ; 309, 310.

Mer séleucide. Ce que l’on appelloit ainsi, II. 301.

Mercator (Isidore. Sa collection de canons, III. 289.

Meres. Il est contre nature qu’elles puissent être accusées d’adultere par leurs enfans, III. 197. Pourquoi une mere ne peut pas épouser son fils, III. 216, 217. Dans l’ancienne Rome, ne succédoient point à leurs enfans, & les enfans ne leur succédoient point : quand & pourquoi cette disposition fut abolie, III. 243 ; 262.

Mérovingiens. Leur chute du trône ne fut point une révolution, IV. 159 & suiv.

Mesures. Est-il nécessaire de les rendre uniformes dans toutes les provinces du royaume ? III. 439.