Page:Montesquieu Esprit des Lois 1777 Garnier 4.djvu/575

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
557
DES MATIERES.


Sixte V. Sembla vouloir renouveller l’accusation publique contre l’adultere, I. 215.

Société. Comment les homme se sont portés à vivre en société, I. 8, 9. Ne peut subsister sans gouvernement, I. 11. C’est l’union des hommes & non pas les hommes même : d’où il suit que, quand un conquérant auroit le droit de détruire une société conquise, il n’auroit pas celui de tuer les hommes qui la composent, I. 278. Il lui faut même dans les états despotiques quelque chose de fixe : ce quelque chose est la religion, III. 193.

Sociétés. Dans quel cas ont droit de faire la guerre, I. 275.

Sœur. Il y a des pays où la polygamie a fait déférer la succession à la couronne aux enfans de la sœeur du roi à l’exclusion de ceux du roi même, III. 202, 203. Pourquoi il n’est pas permis à une sœur d’épouser son frère, III. 218. Peuples chez qui ces mariages étoient autorisés : pourquoi, III. 220.

Soldats. Quoique vivant dans le célibat, avoient à Rome le privilege des gens mariés, III. 104.

Solon. Comment divisa le peuple d’Athenes, I. 21. Comment corrigea les défectuosités des suffrages données par le sort, I. 22, 23. Contradiction qui se trouve dans ses lois, I. 88. Comment bannit l’oisiveté, I. 96. Loi admirable, par laquelle il prévoit l’abus que le peuple pourroit faire de sa puissance dans le jugement des crimes, I. 158. Corrige à Athenes l’abus de vendre les débiteurs, I. 416. Ce qu’il pensoit de ses lois devroit servir de modele à tous les législateurs, II. 213. Abolit la contrainte par corps à Athenes : la trop grande généralité de cette loi n’étoit pas bonne, II. 257. A fait plusieurs lois d’épargne dans la religion, III. 175. La loi par laquelle il autorisoit dans certains cas les enfans à refuser la subsistance à leurs peres indigens n’étoit bonne qu’en partie, III. 199. À quels citoyens il accorda le pouvoir de tester ; pouvoir qu’aucun n’avoit avant lui, III. 246. Justification d’une de ses lois qui paroît bien extraordinaire, III. 409, 410. Cas que les prêtres Égyptiens faisoient de sa science, IV. 37, 38.