Page:Moréas - Poèmes et Sylves, 1907.djvu/105

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

et sur le retour du printemps
je saurais encor te complaire,
fleur en ta tête claire.
Peut-être, aussi, serai-je mué,
par celui qui son front pare d’une corne lisse,
en roseau doucement remué :
pour bercer ton sommeil, au solstice.