Page:Moréas - Poèmes et Sylves, 1907.djvu/232

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Qui les yeux ravissaient des monstres et cerbères ;
Car de ton frère archer la prophétique rage
Qui agite les rains du pénéan feuillage,
Jamais enfant mortel ne la porta si forte
Comme mon ami doux dedans son cœur la porte.