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Page:Morville - L'Oiseau de Trianon, 1698.pdf/21

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Je le laiffois en liberté, Et mon cœur l’a trop regreté, Pour en accepter davantage. A Iris Sur la mort de son Moineau. Votre otre cœur, adorable Iris ! Eft d’un inestimable prix, Ileft tendre, constant, fidelle, Il aime au delà du Tombeau : Faut-il qu’une amitie si belle Soit le partage d’un Moineau ? Si c’eftoit par reconnoiffance Que vous l’aimaffies feulement, Foffrirois à votre constances Iris ! dés ce même moment Un discret & fidelle Amant. Je ne veux que la préference, Et aous aimeray tendrement. le Pays. Répon-