Page:Mourguet - Théatre lyonnais de Guignol, tome 2.djvu/241

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faire manger… c’est une Bressanne ; mais elle a un drôle d’accent. (Haut.) Belle fiancée, mon estom me dit plus rien ; ce était mon cœur seul qui parpite dans votre sociétance.

ZISKA.

Yes ! vos, mylord, être très gentil. Je aimerais boco vos pour mé mari.

GUIGNOL, à part.

Je lui plais ; faut continuer la conversation. (Haut.) Belle colombe, pourquoi vous porter comme ça une patte de mousseline sur votre figoure ? Est-ce que vous craindre les coups de soleil ?

ZISKA.

Ce était l’ordre de my father.

GUIGNOL.

Avant de nous unir, permettez à moa de jeter un œil sur cette charmante phisiolomie qui doit embellir mon existence.

ZISKA.

No, no ; ce était défendu par my father.

GUIGNOL.

Qu’est-ce qui a défendu ça !