Page:Multatuli - Max havelaar, traduction Nieuwenhuis, 1876.djvu/260

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Les choses marchaient toutes seules, en laissant madame Sloterin à sa bien-aimée solitude. Chacun gardait sa liberté.

Il était pourtant singulier que cette dame, ne se contentant pas de refuser les invitations à dîner des Havelaar, refusât aussi de profiter de l’offre qu’on lui avait faite de se servir de leur propre cuisine pour apprêter ses repas.

Cette réserve, disait Tine, est plus qu’exagérée, la cuisine étant largement assez grande pour servir à deux ménages comme les nôtres !


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