Page:Musset - Œuvres complètes d’Alfred de Musset. Œuvres posthumes.djvu/190

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Faustine.

Et moi aussi, bien que ce soit d’un peu loin.

Visconti.

Je le sais, madame, et je serais heureux si le nom de ma belle cousine pouvait me recommander à vous.

Faustine.

Le vôtre vous suffit, seigneur, pour être le bienvenu partout.

Fabrice, bas, à Michel.

M’as-tu trompé, ou t’es-tu trompé toi-même ?

Lorédan, à part.

Elle lui fait, ce me semble, un accueil bien lugubre.

Haut.

Marquis, il faut que je vous conduise à l’appartement qu’on vous a préparé.

Visconti.

Je ne voudrais pas…

Lorédan.

Venez, je vous en prie.

À part.

L’affaire de la dot changera son humeur.

Haut.

Marquis, je vous montre le chemin.

Il sort avec Visconti.
Michel, bas, à Faustine.

Sœur, j’ai te parler.

Faustine.

Quand tu voudras.