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Cordiani.

Silence ! viens avec moi, te dis-je ! Tu es mort si tu n’obéis pas.

Il l’entraîne du côté de la maison.
Mathurin.

Où allez-vous, monsieur ?]

Cordiani.

Ne t’effraye pas ; je suis en délire. Cela n’est rien ; écoute ; je ne veux qu’une chose bien simple. N’est-ce pas à présent l’heure du souper ? Maintenant ton maître est assis à sa table, entouré de ses amis, et en face de lui… En un mot, mon ami, je ne veux pas entrer ; je veux seulement poser mon front sur la fenêtre, les voir un moment. Une seule minute, et nous partons.

Ils sortent.



Scène II


[Une chambre. —] Une table dressée.


ANDRÉ, LUCRÈCE, assise.
André.

Nos amis viennent bien tard. Vous êtes pâle, Lucrèce. Cette scène vous a effrayée.

Lucrèce.

Lionel et Damien sont cependant ici. Je ne sais qui peut les retenir.