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Un autre convive.
Frappez-lui dans les mains ; ouvrez les fenêtres et frappez-lui dans les mains.
Un autre.
Ce n’est peut-être qu’un étourdissement ; elle aura bu avec trop de précipitation.
Un autre.
Pauvre enfant ! comme ses traits sont calmes ! Elle ne peut pas être morte ainsi tout d’un coup.
Philippe.
Mon enfant ! es-tu morte, es-tu morte, Louise, ma fille bien-aimée ?
Le premier convive.
Voilà le médecin qui accourt.
- Un médecin entre.
Le second convive.
Dépêchez-vous, monsieur ; dites-nous si c’est du poison.
Philippe.
C’est un étourdissement, n’est-ce pas ?
Le médecin.
Pauvre jeune fille ! elle est morte.
- Un profond silence règne dans la salle ; Philippe est toujours à genoux auprès de Louise et lui tient les mains.
Un des convives.
C’est du poison des Médicis. Ne laissons pas Phi-