Cette page a été validée par deux contributeurs.
lorsque le cœur leur bat aux accents du génie, lui jettent si noblement leurs bouquets parfumés ! Tout cela vous attend, vous regrette et vous appelle… Ah ! je jouissais jadis de vos triomphes ! votre amitié m’en donnait une part. — Que serait-ce donc si vous étiez à moi !
Bettine.
Ah ! Stéfani… Mais c’est impossible.
Le marquis.
Ne le dites pas trop vite, ne vous hâtez pas. C’est là tout ce que je vous demande.
- Il lui baise la main.
Le notaire, sortant du pavillon.
Monsieur Calabre !
Calabre.
Ah ! c’est vous ?
Le notaire.
Oui, il n’y a plus de moscatelle, et je ne vois toujours pas les futurs conjoints. Je vais retourner à la ville.
Calabre, lui montrant Bettine, qui a laissé sa main dans celle du marquis.
Attendez, attendez un peu.
FIN DE BETTINE.