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D’UNE PARISIENNE
IMPRESSIONS D’UNE « PREMIÈRE » FLEURISTE
Juin 1901.
qu’on me permette tout d’abord de
faire en toute sincérité mon « mea-culpa »
professionnel.
Une des lois que je me suis toujours imposée, c’est de ne jamais emprunter une fausse personnalité pour capter la confiance de ceux ou de celles que je désire entretenir ; pour la première fois, tout à fait exceptionnellement, j’ai transgressé cette règle. Depuis son arrivée en France
