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Page:Naudé - Apologie pour tous les grands personnages qui ont esté faussement soupçonnez de magie - 16125.djvu/43

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re, ce soitíbus les mesmcs codifions que Seneque le permettoit à son amy Lucilíe, Nec te prohibuerim, luy diíbit il, aliquandoijìa agerej'ed tune cum yolesnïhil agere. Pour moy je dirois d'avantage qu'il les faudroit du tout supprimer, ou que comme anciennement il estoit défendu à ceux quin'avoient atteint Paage de quarante ans de lire l'Apocalypse & le dernier chapitre du Prophète E£ dras? il fust pareillement défendu à ceux qui n'ont encores le jugement formé par la lecture des bons livres, de s'arrester à tous ces fruicts abortifs & percurseurs de ^ignorance, qui ne servent qu'à desmonter & abastardir V esprit de ceux qui s'y amusent,?^»* qui omnes etiam indignas Uïïione schedas excutit, anilibus quoque, fabulis accommodât e operam potest. Sur la censure & précaution desquels premier que de nous estedrç d'avantage, tage,