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II
AVIS DES ÉDITEURS

d’État, il n’y trouva que des folies, qu’il transcrivit pour son amusement. Cette copie, qui a circulé, nous est parvenue, et c’est d’après elle que nous avons imprimé.

Le lecteur nous pardonnera la liberté que nous avons prise de jeter par ci par là quelques notes. Celles qui tendent à l’instruire étaient du moins nécessaires, et ce n’est pas sans quelque peine que nous nous en sommes procuré les sujets. Quant à nos réflexions, si elles préviennent celles du public, c’est que, premiers lecteurs, nous avons dû avoir, avant lui, les idées qui lui viendront, sans doute, en lisant cette étrange anecdote.

Il nous reste à rendre compte de ce qu’a d’équivoque la première planche, qui montre un abbé dont il n’est nulle-