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tourière pour être libre plus tôt fait le ménage vite et sans ordre dans la cuisine.
Ensuite, elle a tout à recommencer.
L’automne est la délicieuse saison des couvents.
Le bois qu’on vient déjà d’apporter à la cave pour l’hiver répand une odeur de résine. On rit sans raison. Le ciel est bleu, il fait frais et chaud.
Il y a des moments où tant d’allégresse repose partout, sur toutes les choses, que je m’arrête et que je les écoute.
Les armoires dans le couvent disent : « Je suis pleine de linge et de thym, et je suis là aussi pour qu’on empile du silence et du bonheur… »
Le puits du jardin dit : « Je suis là,