Page:Noailles - Poème de l’amour, 1924.djvu/88

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


LXVII


Moi seule je connais ta langoureuse allure,
Tous les autres regards peuvent bien s’y tromper.
Mais j’ai surpris (ô juin, par l’orage estompé !)
Comme un cristal où gît l’invisible fêlure,
Ton rire épanoui, d’angoisse entrecoupé…