Page:Normand - La Muse qui trotte, 1894.djvu/139

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Le long des toits, le long des murs,
Les rayons tombent, secs et durs ;
Là-haut, dans son char qui poudroie,

Menant ses coursiers bondissants,
Comme un cocher de fiacre en joie
Phœbus tape sur les passants.