Page:Normand - La Muse qui trotte, 1894.djvu/162

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.



Et l’orchestre de l’avant,

Qui besogne,

Jette des couacs au vent

Sans vergogne.


Mais qu’aperçois-je — ô surprise ! —

Sans entrain,

Le nez long, la mine grise,

Tartarin !


On sent au fond de ses yeux

Un grand vague…

Il se penche, soucieux,

Vers la vague…


Puis, au bout d’une seconde,

À mi-voix :

« Moi qui fis le tour du monde

« Quatre fois !