Page:Normand - La Muse qui trotte, 1894.djvu/20

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Il faut clore enfin cette lettre déjà longue ; et je m’aperçois que je vous ai moins entretenu de la Muse qui trotte que de mes préoccupations personnelles en matière de poésie. Pardonnez-le-moi, mon cher ami ; vous m’avez imprudemment fourni l'occasion de disserter : je l'ai saisie avec d’autant plus d’ardeur, croyez-le bien, que j’y trouvais associée celle de vous renouveler le témoignage de ma plus affectueuse estime.


SULLY PRUDHOMME.