Page:Normand - La Muse qui trotte, 1894.djvu/216

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Je rentrai, la pleurant toujours.
Le soir, je lus les deux discours.
Ils me semblèrent… bien moins courts…
Pourquoi ? Qu’un autre le devine !
Moi, ce que je sais seulement,
C’est qu’à minuit, en m’endormant,
J’appréciais assurément
Leur éloquence noble et fine…

Mais j’ai rêvé de ma voisine !