Page:Normand - La Muse qui trotte, 1894.djvu/28

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Sur le bébé que l’on sèvre ;

Sur la fièvre

Que donnent les dents de lait ;

Des propos sur la dernière

Couturière

« Que l’on veut quitter toujours »,
Sur l’étoffe dont la mode

S’accommode,

Peau de cygne ou fin velours ;

Sur les visites rendues

Ou bien dues

Depuis « des temps et des temps » ;
Sur les politesses faites ;

Sur les fêtes

Que prépare le printemps ;

Sur le roman que chacune,

Blonde ou brune,

A lu, lit ou bien lira ;