Page:Normand - Paravents et Tréteaux, 1882.djvu/214

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

LA FEMME.

Baisez-moi.

LE MARI, l’embrassant.

Baisez-moi.Quel bonheur complet
Je goûte auprès de vous, ma mie !
Je sens mon corps en grande vie :
Jamais je ne me portai mieux !

LA FEMME.

Baisez-moi.

LE MARI, l’embrassant.

Baisez-moi.Je ne suis pas vieux,
Mais je blanchis de ma nature !