Page:Nouveau Larousse illustré, 1898, VII.djvu/211

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RECOMPENSEMENT RECONNAÎTRE noblesse, etc. La Restauration it revivre l'ordre de Saint- Louis, definitivement aboli en 1830, Le second Empire créa des médailles commémoratives d'expéditions militai- res et fit reaaltre les titres nobiliaires et les dotations; la troisième République n'a créé que des médailles commé- moratives Les récompenses civiles furent rares dans l'antiquité. La monarchie française récompensa parfois, par des titres et des pensions, les services civils. Sous l'Assemblée constituante, on accorda des pensions et gratifications, et l'on décerna les honneurs publics à la mémoire des grands hommes. Depuis lors, on a donné des pensions à titre de récompense nationale (v. PESSION) et, comme ré- compense posthame, érigé des statues, -Dr. civ. Une récompense est, dans le régime de la communauté, une indemnité due à l'un des époux par la communauté ou réciproquement, ou aussi par l'un des époux à l'autre. La communauté doit une récompense à l'un des époux lorsqu'un immeuble propre à l'un des époux ayant été venda, le prix en a été versé dans la commu- nauté sans remploi; il en est de même si la communauté a touché le prix versé par un propriétaire pour se rédimer de services fonciers dus à un heritage propre (C. civ.. art. 1433). La récompense s'exerce sur les biens de la communauté; si la récompense est due à la femme, elle pout, en cas d'insuffisance, l'exercer sur les biens person- nels du mari. Toute récompense se liquide à la dissolu- tion de la communauté.. RECOMPENSEMENT (kon-pan, man) n. m. Action de récompenser. (Vx.) -du lat. recompensare) v. a. RECOMPENSER (kon-pan Dédommager: RECOMPENSER quelqu'un d'une perte. - Accorder une récompense: Un bon maitre RECOM- PENSS ses serviteurs. t Se dit de même en parlant des choses: RECOMPENSER une bonne action. Par antiphr. Punir, infliger la peine due à une mau- vaise action: RECOMPENSER un trattre de ses perfidies. Par ext. Compenser, rétribuer: Une bonne récolte RECOMPENSE les travaur des cultivateurs. Récompenser le temps perdu, Réparer une perte de temps. Se récompenser, v. pr. Etre récompensé: Les belles actions ne peuvent suffisamment SE RECOMPENSER. -Se dédommager: SE RECOMPENSER de ses pertes. S'accorder une récompense. RÉCOMPENSEUR (kon-pan) n. m. Celui qui récompense. S'emploie aussi adjectiv.: Toutes les nations policées ont admis des dieuz RECOMPENSEURS et punisseurs. (Volt.) RECOMPLÉTER (kon) v. a. Compléter de nouveau. Se recompléter, v. pr. Etre recomplété. RECOMPOSABLE (kon) adj. Qui peut être recomposé : Corps décomposable et RECOMPOSABLE. RECOMPOSER (kon) v. a. Composer de nouveau : RE- COMPOSER une administration. RECOMPOSER un corps. - Chim. Composer de nouveau en associant les élé- ments qu'on avait isolés. Typogr. Refaire la composition de : RECOMPOSER une page tombée en pâte. Recomposé, ée part. pass. du v. Recomposer. -Bot. Se dit des feuilles composées deux fois ou à deux degrés, c'est-à-dire dont les divisions primaires sont elles-mêmes composées. Se recomposer, v. pr. Etre recomposé: Une fois dé- composée, la grande propriété ne SE RECOMPOSE plus. RECOMPOSITION (kon, si-on) n. f. Action de recomposer: résultat de cette action: La décomposition et la RECOMPO- SITION de la société aur siècles barbares. - Chim. Syn. de SYNTHÈSE. -Gramm. Recomposition romane, Phénomène phoné- tique particulier aux langues romanes, où les composés latins se sont comportés comme s'ils n'avaient pas subi d'altérations vocaliques du fait même de la composition. (Ainsi, le préfixe latin re-+tenet il tient a donné en latin retinet, lequel est redevenu en gallo-romain retenet, pour aboutir au français retient.) Typogr. Action de recomposer ce qui était déjà com- posé: La RECOMPOSITION d'une page, d'une ligne. RECOMPTAGE (kon-taj') n. m. Action de compter une seconde fois: Le RECOMPTAGE des votes. Inspirer des idées plus favorables sur le compte de quelqu'un ou de quelque chose : Cette bonne action me BE- CONCILIE avec lui. Relig. Accomplir la réconciliation. Se dit aussi du prêtre qui donne l'absolution après avoir entendu une confession sacramentelle. Réconcilié, ée part. pass. du v. Réconcilier. Se réconcilier, v. pr. Se raccommoder, redevenir amis. Se réconcilier avec soi-même, Apaiser les reproches de sa conscience. Se réconcilier avec Dieu, Rentrer en grâce avec lui. SYN. Accorder, raccommoder. V. ACCORDER. RECONCOURIR v. n. Concourir de nouveau. RECONDAMNER (da-né) v. a. Condamner de nouveau. RECONDITIONNER (si-o-né) v. a. En T. de comm., Re- mettre en bonne condition. RECONDUCTION ou RÉCONDUCTION (ksi-on- lat. re- conductio) n. f. Renouvellement d'un louage ou d'un bail à ferme: RECONDUCTION expresse, tacite RECONDUCTION. - REM. L'Académie écrit réconduction, contre l'ana- logie d'abord, puisqu'elle écrit reconduire, et ensuite contre l'usage adopté par la plupart des spécialistes. - ENCYCL. On distingue: 1° la reconduction expresse, renouvellement du bail par écrit ou verbalement, par pa- roles expresses entre les parties; 2° la tacite reconduction, renouvellement du bail s'opérant par le fait de la continua- tion de jouissance du preneur, sans opposition du bailleur. En principe, lorsque le bail est fait pour une durée dé- terminée, il cesse par le seul fait de l'échéance du terme; toutefois, si, à l'expiration du temps convenu, le preneur reste et est laissé en possession, pendant un temps suffi- sant pour faire présumer, de la part des parties, l'inten- tion de prolonger les effets du contrat, il s'opère, par cet accord tacite, un nouveau bail (C. civ., art. 1738 et 1776), et c'est ce nouveau bail qu'on nomme tacite reconduction. Le nouveau bail est censé fait en général, aux mêmes conditions que le bail primitif; mais il en diffère sur deux points 1 il est fait pour une durée non déterminée; 2 le cautionnement et les hypothèques consentis pour assurer l'exécution du bail primitif ne subsistent pas (C. civ., art. 1740). RECOMPTER (kon-té) v. a. Compter de nouveau. RÉCONCILIABLE (si) adj. Qui peut être réconcilié : Deux ricaux ne sont guère RECONCILIABLES. RÉCONCILIATEUR, TRICE (si) n. Personne qui récon- cilie. RECONCILIATION (ai, ai-on) n. f. Action de réconci- lier; son résultat: Se prêter à une RECONCILIATION. Fam. Réconciliation normande, Fausse réconciliation. Relig. Acte solennel par lequel un hérétique est réuni à l'Eglise et absous des censures encourues. Céré- monie qu'on fait pour rebénir une église profanée. - EscYCt.. Dr. L'action en séparation de corps ou en divorce s'éteint par la réconciliation des époux, survenue soit depuis les faits allégués dans la demande, soit depuis cette demande. Le demandeur peut néanmoins intenter une nouvelle action pour cause survenue ou découverte depuis la réconciliation, et se prévaloir des anciennes causes à l'appui de sa demande (C. civ.. art. 211 et 307). -Liturg. Réconciliation d'une église. Une église pro- fanée (v. PROFANATION) ne peut plus servir au culte avant d'avoir été purifiée par une cérémonie spéciale appelée réconciliation. Cette cérémonie consiste principalement dans une aspersion avec un mélange d'eau, de cendre et de vin. C'est l'évéque diocésain qui doit faire la réconci- liation d'une église polluée. Le pape, cependant, peut dé- léguer, à cet effet, un simple prêtre. RÉCONCILIATOIRE (si) adj. Qui est propre à produire la réconciliation, qui a pour but la réconciliation : Dé- marches RÉCONCILIATOIRES. RÉCONCILIEMENT (si-li-man) n. m. Action de réconci- lier. (Vx.) RÉCONCILIER (si-lat. reconciliare, proprem. s rame- ner, rapprocher. [Prend deux i de suite aux deux prem. pers. pl. de Pimp. de l'ind. et du prés. du subj.: Nous ré- conciliions. Que vous réconciliiez) v. a. Rétablir l'accord, l'amitié, l'harmonie entre: RECONCILIER des ennemis. RECONDUIRE v. a. Accompagner au retour: La route n'est pas sûre; prenes quelqu'un pour vous RECONDUIRE. Accompagner par civilité au départ: RECONDUIRE une dame jusqu'à sa voiture. Ironiq. Econduire, expulser: RECONDUIRE un insolent à coups de bâton. | Reconduire un acteur, Le siffler quand il sort de scène. Se reconduire, v. pr. Se faire mutuellement la conduite. RECONDUISEUR n. m. Celui qui reconduit. RECONDUITE n. f. Action de reconduire : La RECON- DUITE est une marque de politesse. Ironiq. Action d'expulser, de chasser: S'il ose venir, faites-lui la RECONDUITE qu'il mérite. RECONFESSER (fé-sé) v. a. Confesser de nouveau. Se reconfesser, v. pr. Se confesser de nouveau. RECONFINER v. a. Confiner de nouveau. RECONFIRMATION (si-on) n. f. Nouvelle confirmation. RECONFIRMER v. a. Confirmer de nouveau. RECONFISQUER (ské) v. a. Confisquer de nouveau. RÉCONFORT (for' - subst. verb. de réconforter) n. m. Consolation, secours dans l'affliction. Il Secours dans le be- soin: Une petite somme est parfois un grand RÉCONFORT. RÉCONFORTANT (tan), ANTE adj. Qui réconforte, qui apporte du réconfort: Breuvage RÉCONFORTANT. -n. m. Médicament ou aliment qui réconforte: Prendre des RÉCONFORTANTS. RÉCONFORTATIF, IVE (rad. réconforter) adj. Se dit des substances médicamenteuses ou nutritives dont l'effet se- rait de donner du ton, de la vigueur aux organes. - n. m. Substance réconfortative: Le bon vin est un RE- CONFORTATIF. On dit plutôt RÉCONFORTANT. RÉCONFORTATION (si-on) n. f. Action de réconforter. RÉCONFORTER (renforcement de conforter) v. a. Forti- fier, donner de la vigueur, du ton à: Cette liqueur m'a RÉCONFORTÉE. 198 Récompense par laquelle on reconnaît un service. Dr. Reconnaissance d'enfant, Acte par lequel on re- connaît être le père ou la mère d'un enfant naturel. - Dr. cout. Disposition prise par l'un des deux conjoints en faveur de l'autre. Il Reconnaissance d'ainés et héritiers principaux, Déclaration qui contenait, de la part de celui qui la faisait, une espèce d'institution contractuelle de ses biens actuels, et par laquelle il s'obligeait tacitement à les conserver pour celui des enfants qui serait, en sa qua- lité d'ainé, son principal héritier. Féod. Acte de reconnaissance féodale ou Reconnais- sance de vassalité, Acte fréquemment usité vers le x s. pour instituer un fief ou pour renouveler le contrat ini- tial d'une institution de fief. Reconnaissance d'hérita- ges, Déclaration que l'on passait au terrier d'un seigneur. pour les héritages que l'on tenait de lui à cens. Littér. Action des personnages qui, ignorant jus- que-là qui ils sont ou les liens qui existent entre eux, ar- rivent à découvrir la vérité : Les RECONNAISSANCES sont fré- quentes dans le théâtre antique. - Relever le courage, la force morale de: La conscience d'avoir fait le bien vous RÉCONFORTE. Se réconforter, v. pr. Etre réconforté, reprendre des forces: L'estomac SE RÉCONFORTE par un usage modéré des toniques. Il Se donner des forces: SE RECONFORTER en bien dinant. Réconforter à soi: SE RÉCONFORTER l'estomac. - Fig. Se réconforter de quelque chose, S'en trouver bien. (Vx.) 1 RECONFRONTATION (si-on rad. reconfronter) n. f. Nouvelle confrontation; action de reconfronter. I Repré- sentation faite à l'accusé des témoins qui ont déposé contre lui. Confrontation de deux complices qui se sont accusés l'un l'autre. RECONFRONTER v. a. Confronter de nouveau. RECONJURER v. a. Conjurer de nouveau. RECONNAISSABLE (ko-ne-sabl') adj. Que l'on peut re- connaitre: Il est si changé qu'il n'est pas RECONNAISSABLE. RECONNAISSANCE (ko-ne-sanss-rad. reconnaitre) n. f. Acte de l'esprit, qui se rappelle comme connus antérieure- ment la personne ou l'objet actuellement présent : Entre personnes qui ne se sont pas vues depuis très longtemps, la RECONNAISSANCE ne se fait pas tout de suite. Exploration: Faire une RECONNAISSANCE en Afrique. - Action d'admettre comme légal, authentique La RECONNAISSANCE d'un droit. "Action d'accepter comme pou- voir légalement existant: RECONNAISSANCE d'un souverain. -Examen détaillé: Faire la RECONNAISSANCE des lieux. Vérification: La RECONNAISSANCE des dettes. -Acte par lequel on reconnaît l'existence d'une obli- gation: Il m'a passé une RECONNAISSANCE de la rente qu'il me doit. Reçu d'un dépôt, délivré par un mont-de-píété. Pop. Il a mis sa femme au mont-de-piété et il en a perdu la reconnaissance, Il a quitté sa femme et il ne tient pas à la reprendre. - Aveu, confession, déclaration affirmative: La RECON- NAISSANCE d'une faute. - Gratitude, affectueux souvenir des bienfaits reçus : Vous pouvez compter sur ma RECONNAISSANCE. Mar. Opération ayant pour but de s'assurer de la po- sition d'une terre, d'un danger, etc. Marque servant à indiquer des passes ou des dangers. 1 Signaur de recon- naissance, Signaux faits par un navire à la terre ou par deux navires entre eux pour se reconnaître. Il Reconnais- sance de douane, Certificat de visite de la douane. - Milit. Opération ayant pour but de découvrir ou véri- fier des indications sur la position ou les mouvements de l'ennemi, sur la topographie du théâtre de la guerre, etc. - SYN. Reconnaissance, gratitude. V. GRATITUDE. ENCYCL. Milit. Une partie des reconnaissances sont confiées à la cavalerie dans le service d'exploration d'autres rentrent dans les attributions du service de sûreté Indépendamment de ces reconnaissances, en quelque sorte normales et journalières, le commandement fait exécuter toutes les fois qu'il le croit utile, et par des troupes spécia lement désignées à cet effet, des reconnaissances ayan pour objet d'apprécier les distances, l'état des chemins, la configuration du terrain, d'explorer les positions succes sives à occuper en cas d'offensive ou de retraite, etc. Les reconnaissances dites offensives sont des opération exécutées avec des forces souvent considérables, dont l but est d'obliger l'ennemi à montrer ses forces pour leu résister et à les grouper sur les positions où l'on se pro pose de l'attaquer. - Dr. Reconnaissance des enfants naturels. La loi cré deux classes d'enfants nés hors mariage : 1° les enfant naturels simples; 2° les enfants nés d'un commerce in cestueux ou adultérin. Ce n'est qu'en faveur des enfant naturels simples que la reconnaissance est admise (C. civ art. 335 et 342). Cette reconnaissance peut être soit volor taire, soit judiciaire ou forcée. La reconnaissance volontaire peut être contenue dan l'acte de naissance, ou bien elle peut avoir lieu postériet rement, par un acte séparé, établi par un notaire ou pa un officier de l'état civil (art. 334 et 62). La reconnaissance peut être faite par les père et mère ou par l'un d'eux seulement, soit personnellement, so par un mandataire muni d'une procuration. Un époux peut reconnaître, pendant le mariage, un e fant naturel qu'il aurait eu, précédemment, d'une auti personne que son conjoint; mais cette reconnaissance r peut nuire ni au conjoint ni aux enfants légitimes issu du mariage: elle produit son effet après la dissolution d mariage, s'il n'en reste pas d'enfants (art. 337). A défaut de reconnaissance volontaire, il peut, à la r quête de l'enfant, intervenir, par voie de jugement, ut reconnaissance forcée. Mais une telle reconnaissanc n'est, en principe, admise que par rapport à la mèr A l'égard du père, elle ne peut avoir lieu qu'en un se cas: celui d'enlèvement de la mère, si l'époque de l'enl vement et celle de la conception coincident (art. 340, 341 La reconnaissance établit un lien civil de parenté ent l'enfant et la personne qui l'a reconnu, sans que, cepe: dant, ce lien rattache l'enfant aux parents de son père de sa mère; elle permet à l'enfant de porter le nom de s père, ou celui de sa mère, s'il n'a été reconnu que p celle-ci; elle fait naître entre l'enfant et ses père et mè des obligations d'aliments et des droits de successio Dr. intern. Reconnaissance d'Etats. Un Etat, d qu'il est né, jouit de la souveraineté. Mais il n'a l'exe cice de celle-ci que s'il est reconnu par les autres Eta La reconnaissance est pour ces derniers un acte absol ment libre; elle peut être expresse ou tacite, énoncée da un acte diplomatique, être l'objet d'une déclaration sp ciale ou résulter du fait d'entamer des négociations ou d rapports diplomatiques. Pour qu'une agrégation d'homm puisse avoir un titre à la reconnaissance en qualité d'Et il faut qu'elle ait la volonté et la force de remplir enve les autres puissances les devoirs normaux d'un Etat r connu. RECONNAISSANT (ko-ne-san), ANTE adj. Qui a de reconnaissance. de la gratitude: Etre RECONNAISSA d'un service rendu. RECONNAISSEMENT (ko-nè-se-man) n. m. Examen, el sement que l'on fait des carreaux de pierre meulière. RECONNAISSEUR (ko-ne-seur), EUSE n. Personne ch gée de reconnaître, de faire une reconnaissance. RECONNAÎTRE (ko-nětr' - du lat. recognoscere, se r peler, examiner. Se conjugue comme connaitre) v. a. rappeler comme antérieurement connu : RECONNAÎTRE ami qu'on n'a pas vu depuis longtemps. Constater par quelque signe l'identité de : On le CONNAÎT à une balafre qu'il avait au front. NAIS bien là. Retrouver comme on avait connu : Je vous REC - Parvenir à constater, à apercevoir, à découvrir : A RECONNU Son innocence. Admettre comme vrai, comme certain: RECONN TRE un principe, une vérité. Avouer, confesser: RECONNAÎTRE son erreur. S'avouer auteur de : RECONNAITRE sa signature. Déclarer qu'on est le père ou la mère de: REC NAÎTRE un enfant. Rédiger, signer une reconnaissance de : RECON TRE une redevance, une rente. - Considérer, et traiter comme ayant une existe officielle: RECONNAÎTRE un gouvernement. Considérer, examiner: RECONNAÎTRE le terrain. Montrer de la gratitude pour : RECONNAÎTRE un b fait.