Page:Octave Mirbeau - Dingo - Fasquelle 1913.djvu/421

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Je passai une corde au collier de Dingo et je l’emmenai. Il marchait, tête baissée et langue pendante. Mais parfois, tirant sur la laisse et flairant rageusement, il semblait vouloir s’élancer pour une poursuite nouvelle.