Page:Offenbach - Notes d un musicien en voyage 1877.djvu/271

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» Résolu, que sa courtoisie constante, son obligeance, son amabilité et sa véritable amitié pour chacun de nous et nous tous, l’ont rendu cher à nos cœurs et nous rendront toujours agréable le souvenir de notre association.

» Résolu, que nous lui offrons nos vœux les plus sincères pour sa prospérité et son bonheur, et puisse un succès plus grand encore, s’il est possible ; couronner sa carrière à venir. »

Je les remerciai chaleureusement en leur exprimant toute ma reconnaissance et en les assurant que l’excellent souvenir que j’emportais de leur talent et de leur sympathie vivrait éternellement dans ma mémoire.

Le lendemain, c’est-à-dire la veille de mon départ pour la ville de l’exposition, je recevais à souper les sommités littéraires, artistiques, et financières de la cité impériale. Voici en quels termes le Courrier des États-Unis en rendait compte.