Page:Ohnet - L’Âme de Pierre, Ollendorff, 1890.djvu/99

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

aux cordages du bout-dehors, le regardaient avec admiration. Sous sa main, les tons s’étalaient éclatants, la figure prenait une apparence vivante, les yeux brillaient, le bras étendu semblait commander aux flots. À dix heures, l’oeuvre