Page:Ovide - Métamorphoses, traduction Gros, 1866.djvu/297

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LIVRE HUITIÈME KIPlîSESTCHANGH ENAIGLEDEMER, ETSCYLLA, SAFILLE, ES AIGRETTE, I. Déjàl’étoile du matin chassait la nuit et rouvrait les portes de l’Orient. L’Eurustombe et d’humides nuages s’élèvent. Le paisible Autan seconde le retour des soldats d’Éaque el de Céphale. Grâce à son souffleheureux, ils arrivent au port plus tôt qu’ils ne l’avaient espéré. CependantMinos ravageait la contrée de Lélex, et faisait l’essai de ses forces sous les murs de la ville d’Alcalhoiis, où régnait Nisus. Revêtu d’un brillant manteau de pourpre, ce prince avait sur sa tête blanche et vénérable un cheveu qui assurait la durée de son noble empire. Le disque de Phébérenaissait pour la sixième fois, et la victoire était encore incertaine : longtemps balancée sur ses ailes, elie LIBER OCTAVUS N7SUSIXHÀLL£ETOM, ETSCYLLA, T.3VSFJLTA, IXCIRIXMHTAXTUR. I. Jamuitidumrelegentediem, noetisquefuganle TemporaLucifero, caditEurus, et humidasurgunt Nubila.DantplacidicursumredeuntilmsÀiisfri /EacîdisCephaloque, quibusféliciteracti Anteexspectalum portustenuerepetilos. 5 InlereaMinoslclegeialitiorava ? tat ; Proetcntalquesui viresMavortisin urbe Alcatlioi, quamNisushabet.Guisplendidusoslro Inter bonoralosriiediode verticecanos Crinisinhoerebat, magiiifiduciaregnï. 10 Sextaresurgebànlorîenlîscornua PJioebes, Et pp’ndebaladïiucbellîforluna, diuque